Toute personne peut devenir sauveteur secouriste du travail.
Objectifs
– Porter les premiers secours à toute victime d’un accident du travail ou d’un malaise
– Être acteur de la prévention dans son entreprise
Protéger
Examiner
Faire alerter ou alerter
Secourir
– Informer de l’évolution des techniques et des actions de prévention ou de secours
– Maintenir les connaissances du Sauveteur Secouriste du Travail à un niveau équivalent, voire supérieur à celui de sa formation initiale.
Durée et rythme
La formation initiale de sauveteur secouriste du travail a une durée de 14 heures (sur deux jours ou quatre demi-journées).
Tous les 2 ans le SST doit suivre un recyclage d’une durée de 7 heures (sur une journée ou deux demi-journées), lui permettant de maintenir et d’actualiser ses compétences.
Modalités et délais d’accès / Contact
Dates de session modulables en fonction des demandes, contactez-nous.
A l’issue du contrôle continu des stagiaires par le moniteur SST, délivrance d’une attestation et d’un certificat de sauveteur secouriste du travail valable 2 ans, conformément au référentiel de formation de l’INRS.
Remise à niveau, renouvellement de l’attestation et du certificat de sauveteur secouriste du travail valable 2 ans.
Méthodes mobilisées
Exposés théoriques, mises en situation pratiques, études de situations et partage d’expériences. Sessions allant de quatre à dix stagiaires.
Validité du certificat
La réussite aux évaluations mises en œuvre pendant cette formation permet d’obtenir le certificat de sauveteur secouriste du travail.
Ce certificat, délivré par le réseau Assurance maladie Risques professionnels / INRS, est valable au niveau national pour une durée de 24 mois. Il peut être délivré à des élèves et apprentis de l’enseignement professionnel dans le cadre de la préparation de leur diplôme.
Accessibilité aux personnes handicapées
L’obtention du certificat SST n’est possible que lorsque le candidat est capable de protéger, d’examiner la victime, d’alerter ou faire alerter et d’effectuer tous les gestes de secours. Par contre, il n’est pas exigé que les gestes de secours soient effectués de manière « parfaite » ; ce qui prime est le résultat à atteindre (l’efficacité).
Dans tous les cas, il convient d’examiner la possibilité de certifier le candidat au cas par cas, en fonction de la nature du handicap, de sa capacité à réaliser les gestes, et de son niveau de compréhension.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OkPolitique de confidentialité